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Le problème du volume se pose d'emblée à moins d'avoir une idée très précise de la taille des moules et donc de la quantité de matière à utilisée pour chaque opération. La conception d'un tel objet est donc entièrement dépendante du niveau d'avancement de l'opérateur. Ceci dit au début au moins et pour les premiers essais en tout cas l'utilisation d'un petit mortier de fonte est tout à fait suffisante. Si par la suite et d'après les déductions qui s'imposent le besoin se faisait sentir de trouver un moule de coulée plus "performant", il faudrait avoir recours au système "D" dans un premiers temps puis enfin aux compétences d'un artisan bien guidé par un plan parfait.

Voici à titre indicatif deux façons de se trouver ou se fabriquer deux types de moules. Le premier à gauche est cylindrique, réalisé dans un morceau de tube de fer scié dans le sens de la longueur. Les deux parties sont resserrées et jointées par les bords polis que deux anneaux munis de vis et écrous soudés maintiennent. Une des deux parties hémicylindrique est soudée à un socle constitué par une petite plaque de fer aux dimensions appropriées qui sont laissées à l'appréciation du lecteur.

Là ou les données se compliquent c'est lorsqu'il s'agit de réaliser un moule de forme conique. Plusieurs solutions existent. Une des plus simple consiste à prendre un raccord réducteur à soudé de plomberie (chauffage) en fer. Certains possèdent des dimensions raisonnables et conviennent aux opérations.

C'est le cas de celui présenté à droite qui à été soudé également sur un socle de fer. Là encore et pour des raisons que l'on comprendra les dimensions restent à l'appréciation du lecteur.

Il y a ensuite la solution de la fabrication par un tourneur, voir même un fondeur. Pour un résultat plus fiable et des épaisseurs plus importantes l'appel à un spécialiste reste de rigueur. Il faudra alors fournir un plan, des normes et des dimensions justifiées.

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